De la scène au circuit : Montréal a tout donné ce week-end
Par Bibi Ducharme – Top 100 Québec
Je m’attendais à une bonne soirée. J’ai finalement vécu un week-end complet en pleine ébullition.
Tout a commencé avec Maître Gims au Centre Bell, mais la vraie magie a continué dehors, dans les rues de Montréal.
Impossible de rentrer se coucher quand la ville est aussi vivante. Montréal brillait, criait, respirait la fête.
Gims : un show solide, sans détour
20 h. Les lumières tombent. Gims arrive.
Pas de mise en scène extravagante : juste l’essentiel. Une voix puissante, un DJ solide, et une enfilade de hits qu’on connaît tous par cœur : J’me tire, Bella, Sapés comme jamais.


La foule ? Mélangée et magnifique. Des jeunes, des parents, des boomers qui dansent en douce, des gangs de filles qui crient chaque parole. J’ai rarement vu une vibe aussi intergénérationnelle, et c’était beau à voir.
Une fin qui tombe un peu trop vite
Le seul moment un peu « meh », c’est la fin.
Pas de rappel. Juste la lumière qui se rallume comme un lendemain de veille trop sec.
On aurait pris une chanson de plus, un petit moment d’émotion ou de délire… Mais bon, la vibe générale était trop bonne pour bouder.
Montréal ne dormait pas : la suite dans la rue
C’est là que tout a explosé. En sortant du Centre Bell, on se laisse porter. Tu marches, t’écoutes les sons de la ville, pis tu te fais aspirer par l’énergie.
On traverse, on zigzague, et on se retrouve sur Saint-Laurent.
Et là, BOUM : le Festival MURAL.
C’était pas une fête du Grand Prix. C’était autre chose, encore plus brut, encore plus artistique.
Des milliers de personnes dans la rue, des installations visuelles, de la musique à fond, des danseurs de rue, des camions de bouffe, la fiesta totale.
On était littéralement pris dans une foule de gens heureux, allumés, et fiers d’être là.
C’est dans ce chaos magnifique qu’on a fini la soirée. Et franchement, on aurait pas pu rêver mieux.
Et pendant ce temps-là… Montréal rayonne
Et pendant ce temps-là… Montréal rayonne. Le week-end dernier, entre les vibrations de Maître Gims, les fresques du Festival Mural et l’effervescence du Grand Prix, la ville était en fusion. Une énergie unique, bien plus grande que le simple divertissement. Comme le dit si bien Sandrine Garneau dans GP 2025 : Le virage féminin qui change la course :
« Ce que j’ai vécu, c’est la preuve vivante que Montréal mérite son Grand Prix jusqu’en 2035. Pas juste pour les courses, mais pour tout ce que ça crée autour. »
Mon résumé express
Ce que j’ai vécu | Mon verdict |
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Le concert de Gims | Rassembleur, vocalement solide, mais une fin un peu brusque |
L’ambiance dans la ville | Électrique, spontanée, vibrante |
Le Festival MURAL | Le vrai clou de la soirée : artistique, bondé, euphorique |
Montréal pendant le GP | Une ville qui mérite chaque année de plus. 2035 ? Mérité. |
Ma conclusion
Je suis partie voir un show.
J’ai fini à la fiesta sur Saint-Laurent, au cœur du Festival MURAL, entourée de monde, de sons, de couleurs, d’émotions.
Et dans tout ça, y’avait une chose qui était claire :
Montréal était bien trop réveillée pour qu’on pense à dormir.